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Mélanie Kremer, de patiente à jeune chercheuse

La vocation précoce de Mélanie Kremer pour les neurosciences et sa grande détermination lui ont permis de soutenir, le 31 août dernier, une thèse sur les douleurs neuropathiques, domaine qu’elle connaît personnellement. Elle est aujourd’hui jeune chercheuse au sein de l’Institut des neurosciences cellulaires et intégratives*.

Même si son parcours universitaire n’a pas été linéaire pour arriver jusqu’à la soutenance de sa thèse, la vocation de Mélanie Kremer pour le domaine des neurosciences date de l’adolescence. C’est à cette période qu’elle découvre être porteuse d’une maladie dégénérative des disques de la colonne vertébrale, sans doute d’origine génétique. Cette pathologie se manifeste chez elle par de nombreuses hernies discales, des sciatiques et des douleurs neuropathiques devenues chroniques.
Lorsque l’on rencontre Mélanie, rien ne laisse pourtant présager que cette grande jeune femme dynamique puisse être atteinte de ces maux. « Grâce à un traitement rigoureux j’ai pu stabiliser les douleurs et les épisodes de crises dues aux hernies. Je dois tout de même suivre six semaines de rééducation par an afin d’avoir un bon maintien musculaire et éviter des rechutes », confie-t-elle.
Les douleurs neuropathiques sont liées à des lésions nerveuses ayant diverses origines : maladies génétiques, diabète, séquelles post-opératoires ou bien encore effets secondaires de chimiothérapies. Elles ont pour particularité d’intervenir de manière récurrente, entraînant une dégradation sensible des conditions de vie. « Il s’agit d’un véritable problème de santé publique, explique la jeune femme, les douleurs neuropathiques concernent entre 6 et 8 % de la population française. Elles engendrent des souffrances qui sont souvent mal prises en charge et entrainent beaucoup d’arrêts maladie. Si les thérapies étaient mieux ciblées et plus efficaces, cela soulagerait de nombreuses personnes. »

Une motivation sans faille

Mélanie souhaite améliorer la connaissance et surtout le traitement médicamenteux de ces pathologies. Grâce à son expérience personnelle, elle se glisse dans la peau des patients, et apporte ainsi un point de vue complémentaire à celui des collègues de son équipe de recherche. Cette double approche est d’autant plus précieuse que cette équipe pluridisciplinaire fait de la recherche translationnelle : des études théoriques et expérimentales en laboratoire d’une part, et des essais cliniques auprès de patients des Hôpitaux universitaires de Strasbourg d’autre part.
Mélanie n’hésite pas à se donner les moyens de ses ambitions. Elle sollicite et obtient une bourse du CNRS afin de financer sa thèse et un aménagement de son poste de travail pour mener ses recherches dans des conditions compatibles avec sa situation.
Pendant son doctorat, elle subit un an d’arrêt à cause d’une hernie discale qu’il faut opérer et qui lui impose de rester alitée. Mais elle ne perd pas sa motivation pour autant : elle part à la recherche de financements pour recruter un stagiaire qui réalise à sa place les manipulations et les expériences en laboratoire. Elle peut ainsi continuer à travailler à distance, ce qui limite la perte de temps et lui redonne le moral.
Le chemin est encore long avant de soigner complètement les douleurs neuropathiques, mais avec Mélanie Kremer, le dossier est entre de bonnes mains.

Edern Appéré

*  Équipe de recherche Approche anatomo-fontionnelle de la douleur chronique et de son traitement, département Nociception et douleur de l’Institut des neurosciences cellulaires et intégratives

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Savoirs partagés

Les Presses universitaires de Strasbourg et la BNU lancent le nouveau cycle Savoirs en partage. Cinq rencontres par an pour prouver que recherche et société sont aussi faites pour s’entendre.

Jeudi 10 novembre, 18 h 30 : en cette veille de grand weekend, près de 90 personnes ont pris place dans le confortable auditorium de la BNU. C’est la première rencontre du nouveau cycle Savoirs en partage, organisé par les Presses universitaires de Strasbourg (PUS) et la BNU. Le thème de la soirée : « Quelle place pour la religion dans la société contemporaine ? » Pour en débattre : Stéphane Bernatchez (Université de Sherbrooke, Canada), Françoise Curtit (CNRS/Unistra) Vincente Fortier (CNRS/Unistra), Francis Messner (CNRS/Unistra), Freddy Raphaël (Université de Strasbourg) et Anne-Laure Zwilling (CNRS/Unistra). Face à eux des étudiants, venus en grand nombre, certains à la demande de leurs professeurs, des enseignants, mais aussi du grand public.

La recherche accessible à tous

« L’idée, explique Florence Amsbeck, chargée de la politique scientifique de la Bibliothèque nationale et universitaire, c’est de montrer que le monde des chercheurs n’est pas si éloigné des préoccupations de la société. » C’est la raison pour laquelle, plus qu’une conférence forcément un peu convenue et statique, les organisateurs ont opté pour un format de type rencontre. Les intervenants sont interrogés par un journaliste de France Bleu Alsace, Guy Wach, mais aussi par le public, qui ne se prive pas d’intervenir.
« Tout en restant dans une posture scientifique et rigoureuse, les chercheurs participant au débat ont su adopter un langage simple et direct pour bien se faire entendre du public », se félicite Isabelle Laboulais, présidente des PUS, à l’issue de cette première édition.
Car c’est bien un des objectifs des rencontres : « Mettre en lumière nos publications et leurs auteurs auprès d’un public, qui n’est pas exclusivement composé d’universitaires, en montrant qu’elles sont rédigées dans une langue accessible à tous et qu’elles abordent des questions concernant l’ensemble de la société. »
Vincente Fortier, directrice de recherche de l’UMR Droit, religion, entreprise et société (Dres) et directrice de la collection Société, droit et religion des PUS, approuve : « L’expérience est extrêmement intéressante. Le grand public réalise que nous ne sommes pas déconnectés du réel. Nous avons des réponses à apporter sur de très nombreux sujets. J’ai vraiment réalisé à quel point les gens sont demandeurs d’explications, notamment sur le droit. Ils réalisent que les sciences humaines sont vraiment incontournables : nous apportons un autre éclairage. »
Prochain rendez-vous le 8 décembre sur le thème suivant : « S’instruire, voyager, quelle liberté pour les femmes d’hier à aujourd’hui ? ». Avant cinq autres Rencontres en 2017, sur les thèmes des émotions, des cultures européennes, du dialogue entre critiques de films et études cinématographiques…

Jean de Miscault

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Soutien médico-psychologique aux étudiants : 20 ans d’engagement à l’université

Vincent Beaugrand, directeur général de la Fondation santé des étudiants (FSEF), Myriam Riegert, directrice du Camus et Michel Patris, fondateur et président d’honneur du Camus.

Le Centre d’accueil médico-psychologique universitaire de Strasbourg (Camus) a ouvert ses portes en janvier 1996, dans les locaux du Service universitaire de médecine préventive et de promotion de la santé de Strasbourg (Sumps). La relation de confiance se poursuit, avec le renouvellement de la convention liant les partenaires fondateurs.

« Idées noires, stress, anxiété, problèmes familiaux, isolement, solitude, difficultés dans vos études ? » Le flyer du Camus liste certains des motifs pouvant pousser un étudiant à bénéficier d’une consultation médico-psychologique. En 2015, ils étaient 945 à être suivis, contre 434 en 2007. Une augmentation importante qu’on ne peut expliquer par « l’aggravation de l’état des étudiants, plutôt par l’augmentation de leur nombre au fur et à mesure des années et l’accroissement de la notoriété du Camus », souligne Myriam Riegert. La psychiatre, directrice médicale de la structure depuis trois ans, reconnaît toutefois que « le contexte socio-économique actuel est difficile pour certains d’entre eux ».

Acteur de prévention

« Notre rôle, défini au moment de la création du Camus par ses quatre partenaires historiques – rectorat, Université de Strasbourg, Hôpitaux universitaires de Strasbourg (HUS) et Fondation santé des étudiants de France – est aussi d’agir comme acteur de prévention des difficultés psychiques, et de dé-stigmatiser les consultations psychiatriques et psychologiques, » poursuit Myriam Riegert.
En apposant leurs signatures à un document commun, lundi 14 novembre, ces quatre acteurs de la santé et du quotidien des étudiants à Strasbourg reconduisent un dispositif dont l’efficacité et la nécessité ont fait leurs preuves. « Le Camus, ce sont 3 504 consultations en 2015, sans avance de frais pour les étudiants, une équipe de douze psychologues et psychiatres, intervenant sous forme de vacations. » Des effectifs en hausse ces dernières années. Cette équipe est renforcée de deux assistantes sociales mises à disposition par le Crous et d'une conseillère d’orientation psychologue du rectorat d’académie. Le fonctionnement souple du Camus lui permet d’offrir aux étudiants un accompagnement adapté, notamment post-traumatique : « Nous avons proposé un accompagnement spécifique après l’attentat du Bataclan, l’année dernière. Dix étudiants, directement en lien avec l’événement, ont fait appel à nous. »

Consultations sur le campus

Pour remplir ses missions, l’équipe du Camus peut s’appuyer sur des partenaires de terrain : Mission handicap, Crous... C’est avec ce dernier que le dispositif des étudiants relais-cité, chargés de repérer les situations « à risque » (déclinés à l'échelle de l'université avec les étudiants relais campus), a été imaginé. De même que Catcar, accompagnement des troubles du comportement alimentaire à travers des repas thérapeutiques en restaurant universitaire. Sans oublier la relation privilégiées avec le Sumps : le Camus partage ses locaux depuis le début, ce qui permet aux étudiants de bénéficier de consultations sur le campus Esplanade. « Ces partenariats sont utiles à la fois pour la prévention, mais aussi pour orienter nos patients vers les structures adéquates, notamment les HUS, une fois la première consultation effectuée. » En entrant dans un processus de soin le plus précocement possible, le but est bien sûr de favoriser la poursuite des études.

E. C.

Les principaux soutiens du Camus réunis lors d’une table-ronde, lundi 14 novembre : Jean-Marie Danion (président de la Commission médicale d’établissement des HUS), Quentin Menigoz (vice-président Vie universitaire de l’Unistra), Sophie Béjean (rectrice d’académie), Christian Forestier (président de la Fondation santé des étudiants de France), Christophe Gauthier (directeur général des HUS) et René Nething (délégué Alsace de l’Agence régionale de santé).

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Interdisciplinarité et transfrontalier : les défis du cluster en durabilité du Rhin supérieur

L’équipe de coordination du projet à l’Université de Strasbourg : Karine Philippe, Philippe Hamman, Amandine Brandtner, Stéphane Vuilleumier, Vanessa Stoehr et Danielle Hoffarth.

Le projet Cluster de recherche en durabilité du Rhin supérieur (URCforSR), lancé récemment, est porté par les cinq universités membres du Campus européen1, l’Université de Coblence-Landau et d’autres institutions d’enseignement supérieur et de recherche.

Le cluster rassemble un grand nombre de chercheurs de la région trinationale. Afin d’organiser le travail entre les institutions, cinq axes thématiques2 sont animés par des facilitateurs recrutés dans le cadre du projet. Ils se rencontrent régulièrement pour coordonner son développement.
Les fonds Interreg de l’Union européenne apportent 50 % du budget, l'autre moitié correspondant à une contribution en temps de travail de près de 100 chercheurs impliqués dans le projet. « À Strasbourg, seize collègues dédient un dixième de leur temps de travail au projet », explique Stéphane Vuilleumier, professeur de microbiologie à l'Université de Strasbourg, qui participe à la coordination des activités de recherche du projet pour Strasbourg.

Mutualiser les compétences et renforcer les synergies au-delà des frontières

L’interdisciplinarité ainsi que l’interculturel sont au centre du projet. « C’est une belle opportunité d’aborder les questions de manière transversale », relève Stéphane Vuilleumier. Un grand avantage du travail transfrontalier réside dans la possibilité de mutualiser les compétences sans redévelopper ce qui existe déjà. « Mais nous abordons également la question fondamentale de l’interculturel », précise-t-il.
Dans les trois pays, la transition énergétique ou le rapport à la nature par exemple sont traités de manière différente, et nécessitent aussi un traitement interdisciplinaire fondé sur plusieurs domaines scientifiques. « Le cluster associe, de façon équilibrée et en mobilisant les points forts de chacun, les sciences de l’environnement et les sciences humaines et sociales. Cette pluralité à la fois réaliste et ambitieuse constitue un atout réel sur ces questions, pour développer des projets concrets universitaires et appliqués », remarque Philippe Hamman, professeur de sociologie à l'Université de Strasbourg, membre du directoire du cluster. Cet aspect de dépassement des différences culturelles et des approches politiques à travers la coopération est présent à tous les niveaux.

Démonstrateur de potentialités

Les partenaires suisses ont été les moteurs pour la création du cluster. « Leur intérêt à développer activement les interactions transfrontalières se comprend bien au vu des relations actuelles de la Suisse avec la communauté européenne », suggère Stéphane Vuilleumier. Le projet est mené en pilotage conjoint entre l’Université de Fribourg et l’Université de Bâle. Validé en décembre 2015 par les instances Interreg, et piloté pour l'Université de Strasbourg par la Direction de la recherche, le cluster a été lancé officiellement le 22 novembre 2016 à Fribourg. Le cluster revêt pour l'université un rôle test dans le cadre d'Eucor - Le Campus européen. « A terme, si notre projet se développe, il pourrait être intégré comme volet pérenne au Campus européen », ponctue Stéphane Vuilleumier.

1 Bénéficie du soutien de l'Initiative d'excellence, dans le cadre des Investissements d'avenir.
2
Les cinq axes de travail du cluster : gouvernance ; énergie, infrastructure et changement social ; processus de transformation et technologies ; management des ressources ; multiculturalisme et plurilinguisme.

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Un "Téléthon glouton" organisé par le Service de la vie universitaire

À l'occasion du Téléthon 2016, le Service de la vie universitaire organise un Téléthon glouton, mardi 29 novembre, au Patio.

Venez faire un don au profit de l’Association française contre les myopathies (AFM) tout en vous régalant avec de délicieuses viennoiseries, gâteaux, bonbons et autres gourmandises. Pour rendre possible cet événement, le Service de la vie universitaire (SVU) lance un appel à contributions.
Si vous souhaitez participer à cet élan de solidarité en faveur de l’AFM, vous pouvez apporter des gâteaux sucrés/salés, des friandises. Ces gourmandises pourront être déposées le jour-même, au SVU, de 8 h à 9 h 30, au rez-de-chaussée du Patio, et de 10 h à 15 h 30, directement sur le stand, dans le hall du Patio. Pour une pause gourmande ou un dessert, rendez-vous dans le hall du Patio pour la dégustation, de 10 h à 16 h.
Cette édition célébrant les 30 ans du Téléthon, l'association AFM-Téléthon souhaite récolter 30 tonnes de piles usagées. Chaque pile récoltée représente un don pour l'association. Vous avez un paquet de piles usagées que vous n'avez pas pris le temps de jeter ? Gardez-les encore un peu, pour les donner au profit du Téléthon 2016 !

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Le réseau Alumni organise sa soirée parrainage

Le parrainage ? Un coup de pouce supplémentaire pour les étudiants et jeunes diplômés de l'Université de Strasbourg et une source de satisfaction personnelle pour les parrains et marraines. Le réseau Alumni de l’université* organise une soirée dédiée au dispositif, mardi 29 novembre.

Quoi ?
Pour la troisième année, le Service relations Alumni (SRA) de l'Université de Strasbourg organise une soirée parrainage. Pour y participer, il convient de s’inscrire au réseau Alumni (via le portail dédié) et à l’événement. Pour toute question, Laetitia Sciacca (SRA) est disponible par courriel.

Qui ?
S’investir auprès d’un étudiant de l’Université de Strasbourg, c’est l’occasion de tisser une relation au fil des semaines, à la fois riche d'enseignement pour le jeune et pour le parrain. Tout membre du réseau Alumni de l’Unistra, enseignant, chercheur, ancien étudiant ou ancien personnel, retraité, salarié du secteur public ou privé, chef d’entreprise, peut s’investir comme parrain ou marraine.

Où ? Quand ?
Rendez-vous mardi 29 novembre, à partir de 17 h 30, à la bibliothèque du Portique.

Comment ?
L’évènement se déroulera en trois temps. De 17 h 30 à 21 h, des conseillers emploi de l’Association pour l’emploi des cadres (Apec) et d’Espace avenir (Université de Strasbourg) se tiendront à disposition des participants. Ces entretiens ont pour but le soutien à l’élaboration d’une candidature (CV, lettre de motivation, réseaux sociaux, entretien, etc.). D’autres professionnels seront aussi présents. Le Pôle entreprenariat de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) répondra aux questions sur la création d’entreprise. L’association Nos quartiers ont du talent (NQT) se consacrera à l’accompagnement emploi de jeunes diplômés.
Le créneau de 19 h à 21 h sera dédié plus spécifiquement aux moments d’échanges avec parrains et marraines. Il s’agit de professionnels pouvant apporter un éclairage sur les possibilités d'emploi dans un domaine en particulier (métiers méconnus, insertion plus ou moins facile, etc.), mais aussi sur les compétences attendues, les tenants et les aboutissants de leur métier, les spécificités de recrutement, les codes de l'entreprise à intégrer, et bien d'autres choses à découvrir lors de la soirée.
Celle-ci se poursuivra à partir de 21 h avec un moment convivial de réseautage.

* Bénéficie du soutien de l'Initiative d'excellence, dans le cadre des Investissements d'avenir.

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Compte épargne-temps : lancement de la campagne pour 2015-2016

La Direction des ressources humaines (DRH) informe du calendrier de la campagne relative au compte-épargne temps (CET) au titre de l’année universitaire 2015-2016.

La campagne relative au compte-épargne temps (CET) au titre de l’année universitaire 2015-2016 se déroulera selon le calendrier suivant :

  • du 1er novembre au 4 décembre 2016 : ouverture d’un CET pour les personnels n’en disposant pas encore ;
  • du 1er novembre au 31 décembre 2016 : alimentation d’un CET existant ou d’un nouveau CET ;
  • du 15 au 31 janvier 2017 : choix d’utilisation des jours stockés sur les CET au-delà du 20e jour. 

Ces opérations seront effectuées par les personnels via l’ENT, onglet Mon dossier - Mon compte épargne-temps.
Tous les points clefs concernant le compte épargne-temps sont synthétisés dans un document disponible via l'ENT onglet Vie de l'université - Fonctionnement/services/projets - Domaine de gestion des ressources - Direction des ressources humaines - Nos services et ressources - Conditions de travail - Compte épargne-temps.

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Fêtez Noël avec le Spacs

Le Service pour la promotion de l'action sociale (Spacs) propose une fête de Noël pour les enfants du personnel, samedi 10 décembre.

Les enfants (jusqu'à 10 ans) du personnel de l'université sont invités à une fête de Noël, samedi 10 décembre, à partir de 13 h 30, à la Halle des sports. Au programme : ateliers maquillages, coloriage, sculpture de ballons, lecture de contes… puis un spectacle suivi d’un goûter. Le grand invité, le père Noël, arrivera aux alentours de 16 h. Les inscriptions (gratuites) doivent impérativement se faire sur le site du Spacs.
Le Spacs propose également, pour la saison 2016/2017, en partenariat avec le Théâtre national de Strasbourg, des places à tarif préférentiel pour plusieurs spectacles, dont le prochaine est Médée poème enragé, dimanche 27 novembre, à 16 h. Des idées-cadeaux en perspective !

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Spacs : lancement de la saison de ski 2017

Cette année encore, le Service pour la promotion de l'action sociale (Spacs) propose des sorties et des séjours de ski. N’hésitez pas à vous y prendre à l’avance pour les réservations : il n’y aura pas de place pour tout le monde !

Sortie d'une journée en Suisse, séjour pour les enfants dans les Dolomites, séjour familial à Val Thorens, location de matériel : toutes les formules, les dates et les tarifs sont en ligne sur le site du Spacs, rubrique Actualités.